Pensée comme une véritable "fête des corps", Liberté ne s'en prive pas... Pour Claude Brumachon, elle est la suite logique des deux précédentes créations "Le Festin est une arène, Phobos est à l’intérieur et Liberté est sur scène". Hypnotique et psychédélique, la pièce puise son inspiration dans le mouvement hippie et tente de retrouver l'insouciante liberté de cette époque révolue : "Je sens un geste comme sous drogue, tout à la fois lucide et détaché, mais aussi rapide et ralenti, moite et sensuel."  On bouscule les ordres établis, en remettant au goût du jour l'utopie de la liberté, et on y croit...