« Éveiller les regards par des univers cinématographiques inconnus » : une mission d'éducation artistique remplie depuis 5 ans par le Jean Eustache et son festival Jeune Public. Ses outils ? Un cinéma d'animation de qualité, « pour tirer le jeune spectateur vers le haut », alliée à une programmation « dense et touffue », entre projections diverses, séances spéciales, inédits et avant-premières, rencontres et animations.
Un, savoir-faire dans Voyages en Asie : les marionnettes du petit chat curieux, les aquarelles de Mes voisins les Yamada ou encore la magie « Miyazakienne » du dernier Ponyo sur la falaise... Deux, rencontre avec l'enfant asiatique : la Chine du roi des masques, l'Inde dans La Coupe (celle de 98) ou la Corée avec Jiburo, rapprochant un jeune garçon et sa grand-mère muette habitant la campagne. Trois, compétition autour d'un jury mêlant professionnels et enfants, amenés à départager 8 films de tous horizons. Découvertes.